Communiqué
Qui n’a jamais fait l’expérience d’observer la corrélation entre son niveau de stress et la flambée de ses allergies ?
Le décodage biologique nous apporte un éclairage très précis sur le processus qui associe sensibilités et émotions. À la fois sur l’exacerbation possible des symptômes mais aussi et surtout sur la manière dont nous devenons sensibles.
Imaginons une scène : c’est un dimanche, une famille est en train de finir de déjeuner. Le téléphone sonne, une poignée de cerises encore à la main, la mère décroche, c’est le service des urgences de l’hôpital qui l’avertit que son fils vient d’y être pris en charge. On imagine le stress que cela a pu provoquer, mais fort heureusement, rien de grave pour le fils. Quelques jours après, la mère de famille consomme à nouveau des cerises et s’aperçoit qu’elle fait une réaction allergique au niveau de sa gorge.
On a ici, de manière un peu caricaturale mais pour autant authentique, la logique avec laquelle une situation conflictuelle peut générer une allergie. Au plus fort du stress, le corps fait comme un cliché instantané de l’événement et de tous les détails qui l’entourent pour les mémoriser afin de se protéger en cas de récidive. Cette mémoire peut prendre en compte les cinq sens. Dans notre exemple, ce sont les cerises qui ont été enregistrées comme « rail du conflit » : ce dernier est le signal de rappel au corps, du stress vécu au moment de l’appel téléphonique. Cela aurait tout aussi bien pu être la sonnerie, la matière plastique de l’appareil, une odeur de cuisine… Le contact avec le réactif (ici les cerises), maintenant devenu un allergène, va provoquer le rappel de la mémoire du conflit et permettre au système immunitaire de préempter une attitude d’attaque ou de défense.
Une somatisation ajustée
On a ainsi une corrélation directe entre la charge émotionnelle et le taux de sensibilité. C’est pourquoi, d’un point de vue énergétique, sensibilité, intolérance et allergie sont interprétées comme un seul et même phénomène avec simplement un degré d’intensité différent. Dès lors, on peut comprendre que des sensibilités peuvent s’engrammer et apparaître à n’importe quel moment de la vie et s’empiler tel un mille-feuille, avec une histoire émotionnelle spécifique pour chacun de ses épisodes.
La solution pour déprogrammer une sensibilité consiste à « réinformer » le corps de l’innocuité de la substance en mettant le corps en contact avec la vibration du réactif, dans un contexte positif. Une fois que le corps a reconnu que le contact est sans danger, la déprogrammation sera effective et durable.
Pour la mère de famille citée plus haut, après quelques jours ou quelques semaines son conflit émotionnel est parfaitement résolu ; le fils est rentré à la maison et cet épisode a été oublié. Cependant le corps ne va pas forcément faire la corrélation entre la résolution du conflit et les cerises, l’allergie sera maintenue en boucle pendant des années. Sans résidu de mémoire émotionnelle, la déprogrammation de cette allergie se réalisera de manière très aisée et rapide.
5 DEGRÉS DE SENSIBILITÉ
1 – Sensible
2 – Sensible ++
3 – Intolérant
4 – Allergique
5 – Anaphylactique
La réaction anaphylactique, au niveau 5, est le cas le plus sévère, c’est la réaction qui déclenche l’oedème de Quincke (marqueur sanguin : IgE).
L’allergie, au niveau 4, détermine une réaction relativement forte qui survient quelques minutes ou quelques heures après le contact avec l’allergène. Il n’y a pas d’enjeu vital (marqueur sanguin : IgE).
L’intolérance, au niveau 3, la réaction est moins intense, elle survient 24 heures après le contact avec l’allergène, le plus souvent le lendemain matin (marqueur sanguin : IgG).
Les sensibilités 2 et 1. Quand on est sur une sensibilité de 2 sur notre échelle, il s’agit d’une Sensibilité ++. Elle est moins intense que l’intolérance et a souvent un effet retard un peu plus long,
Il y a un niveau encore plus sensible, le niveau 1, qui est aussi réel en regard du test de sensibilité que les autres niveaux. Il y a un effet retard qui peut être d’une semaine. À ce jour, il n’existe aucun test médicalement reconnu capable de mettre en évidence les niveaux de sensibilité 1 et 2 car il n’y a aucun marqueur sanguin qui leur est associé. Seuls les tests énergétiques permettent une telle précision : le test de kinésiologie de résistance musculaire, l’antenne de «Lécher» ou la radiesthésie.
La mémoire émotionnelle
En revanche, imaginons que le fils de cette dame ait été amputé d’une jambe suite à un gros accident de la circulation. On peut facilement imaginer que le deuil de cette situation de souffrance va prendre des années et que le conflit va rester actif pendant très longtemps. Dans ce cas, la déprogrammation de l’allergie à la cerise est impossible si on ne s’attaque pas en parallèle à la partie psycho-affective en jeu. Pour aborder cet aspect émotionnel, deux chemins sont possibles.
Le premier, utilisé dans la plupart des techniques, a pour objet de revisiter l’épisode de crise, jusqu’à éventuellement faire revivre émotionnellement ce moment. Il peut s’opérer alors une prise de conscience qui va dissoudre l’imprégnation et inverser le processus pour recouvrer la santé. Si cette approche peut être rapide et efficace, elle ne concerne que des chocs particulièrement forts pour être rappelés à la mémoire. La plupart des cas cliniques cités dans les ouvrages de référence concernent des profils anaphylactiques ou de très fortes allergies. Mais revisiter un petit épisode qui aura provoqué une légère intolérance est quasiment impossible à faire.
Le renforcement positif
L’autre méthode consiste à faire en sorte que le stress n’ait plus d’emprise. Dans ce cas, il n’est nul besoin de revisiter le passé, on va simplement chercher l’émotion positive qui va transmuter l’émotion négative d’origine.
Par exemple, lorsque je viens de vivre une situation qui me provoque une peur si forte qu’elle débouche sur un stress somatisant, je vais rechercher ce qui peut dissoudre cette peur. Probablement, un manque de confiance en moi, ne m’a pas permis d’affronter sereinement la situation. La solution consistera ici à utiliser un renforcement émotionnel positif sur la notion de « confiance en soi ».
Si, de surcroît, cette situation a débouché sur l’engramage d’une allergie aux acariens par exemple, alors on associera les deux réactifs, « acariens » et « confiance en soi » dans le même traitement de déprogrammation afin de pallier tout phénomène de résistance émotionnelle. Au regard des récentes observations cliniques, sans nul doute, l’émotionnel est à prendre en compte dans les protocoles de traitements liés aux sensibilités.
La déprogrammation des allergies et intolérances, telle qu’elle est pratiquée dans la méthode de Réinformation Vibratoire, est une prise en charge holistique de la relation physique et émotionnelle avec les allergènes, dans un même traitement. C’est en partie pour cette raison qu’elle obtient de très bons résultats dans la durée, l’autre raison est sa simplicité de mise en œuvre grâce à l’utilisation de l’homéopathie de contact.
Olivier Coen
Chercheur et formateur en thérapies énergétiques, fondateur de la méthode de Réinformation Vibratoire et du Laboratoire Lumen Care Laboratory, spécialisé dans le traitement énergétique des sensibilités physiques et émotionnelles par homéopathie de contact.
Contact www.lumen-care.com