Travailler sur l’immunité aspécifique pour mieux renforcer ses défenses naturelles

Les variants du Sars-Cov-2 inquiètent car ils montrent que ce virus peut muter facilement, et que même les personnes vaccinées peuvent attraper la Covid-19. De plus, de nombreux autres virus, à commencer par celui de la grippe, sont toujours présents… 

Alors que le vaccin stimule une immunité spécifique, propre à chaque virus ou à chaque bactérie, améliorer l’efficacité de son immunité aspécifique et innée relève d’une démarche de prévention globale, et sociétale. Il ne s’agit donc pas de cibler un virus en particulier, mais de renforcer ses défenses immunitaires générales, celles qui sont chargées de maintenir l’intégrité de l’organisme. On cherchera donc à maintenir, voire à renforcer son immunocompétence. Rappelons en effet que l’évolution des maladies virales aiguës dépend certes de la virulence du virus, mais également des capacités immunitaires de l’hôte… 

Communiqué

L’immunité aspécifique 

La barrière épithéliale (peau et muqueuses, intestinale et pulmonaire notamment) constitue la 1ère ligne de défense. Lorsque le pathogène la franchit, il active le système immunitaire sous-épithélial, à commencer par l’immunité aspécifique ou innée. Celle-ci met en jeu des cellules particulières, capables de phagocyter, c’est-à-dire « manger » le pathogène en question. 

L’inflammation fait également partie intégrante de l’immunité aspécifique, et a pour rôles : 

• de limiter la propagation du virus ou de la bactérie,
• et d’activer les cellules immunitaires (phagocytes, mais également les cellules de l’immunité spécifique). 

Si l’immunité aspécifique ne résout pas l’infection rapidement (quelques heures à quelques jours), l’immunité spécifique, qui fait intervenir les lymphocytes T et B, vient en renfort de manière ciblée. L’immunité aspécifique agit donc rapidement, localement, et reconnait une large gamme de microorganismes pathogènes. Son bon fonctionnement permet une destruction rapide du pathogène via une inflammation adaptée, puis un retour au calme permettant la réparation du tissu lésé. 

L’immunocompétence et l’immunodéficience 

L’immunocompétence, c’est donc un bon équilibre entre les différents mécanismes immunitaires, afin d’assurer : 

• une défense suffisante de l’organisme, sans emballement inflammatoire incontrôlé
• mais aussi la tolérance des micro-organismes bénéfiques, tel que le microbiote intestinal… 

Une tolérance insuffisante mène aux allergies (réponse immunitaire disproportionnée) ou aux maladies auto-immunes (réponse mal-orientée), tandis que les défenses défaillantes favorisent les infections chroniques et les cancers. Dans les deux cas, c’est l’immunodéficience. 

Comment soutenir l’immunocompétence ? 

Les nutriments indispensables 

Plusieurs nutriments ont maintenant des effets avérés, documentés, et bien connus sur le système immunitaire. Aujourd’hui, une multitude de données cliniques montrent que les vitamines (en particulier B, C et D), les minéraux et oligo-éléments (zinc, sélénium, magnésium et cuivre) et les acides gras omégas 3 jouent un rôle important et complémentaire dans le soutien du système immunitaire. 

LPEV propose une vitamine D3 en spray dosée à 1000 UI par pulvérisation : Uninutris® VITAMINE D3, ainsi que Uninutris® ZINC (ce dernier pour l’adulte uniquement). 

Le rôle délétère du stress 

Le stress chronique mène à la production continue du cortisol dont l’action sur le long terme est délétère pour le système immunitaire (et pour de nombreux autres mécanismes corporels). Il rend ainsi plus vulnérable aux infections. Les plantes adaptogènes telle que la rhodiole (RHODIOLE SHR-5) ou en complexe (NERG’ADAPT® 232-S) peuvent aider à lutter efficacement contre le stress 

La phytothérapie 

Plusieurs plantes ont maintenant des actions immunitaires bien connues. 

• L’astragale par exemple soutient l’immunité par son action antivirale, anti-inflammatoire, antioxydante et immunostimulante. Elle augmente ainsi la réponse vaccinale. 
• Moins connue, l’andrographis soutient les mécanismes de défenses naturelles de l’organisme, en particulier au niveau des voies aériennes supérieures. Anti-inflammatoire, hépatoprotectrice, l’andrographis est également immunostimulante et anti-infectieuse avec une action antivirale et antibactérienne. 
• L’éleuthérocoque augmente la résistance physiologique de l’organisme et soutient les capacités mentales et physiques en cas de fatigue. Cette plante adaptogène convient donc parfaitement dans la prophylaxie et le traitement des infections virales.

Dans sa dernière nouveauté NERGECOV®, LPEV utilise la synergie démontrée scientifiquement entre andrographis et éleuthérocoque, synergie qui a montré en laboratoire une action inhibitrice sur la croissance de certains virus in vitro. 

LPEV propose également le 1er complexe antiviral et immunostimulant, dans une association synergique d’actifs végétaux et minéraux 100% naturel. NERGEVIR® est un complément alimentaire à base d’extraits de plantes (cyprès, sureau et échinacée) et de minéraux (zinc et cuivre) pour la prévention et la prise en charge des infections ORL et pulmonaires d’origine virale chez l’adulte. 

• Le cyprès est une plante bénéficiant d’une étude publiée(1) démontrant son activité antivirale et présente l’avantage d’être utilisable chez l’enfant (pas d’effets secondaires ni de contre-indications connus à ce jour). Le sureau, outre ses activités antivirale, antibactérienne et anti-inflammatoire, stimule l’immunité aspécifique.
• Le sureau potentialise également les propriétés immunitaires des probiotiques. 
• L’échinacée, la plante sans doute la plus connue dans cette indication, présente une action stimulante de l’immunité, des propriétés anti-inflammatoires, antivirales et a une action anti-infectieuse. 

1 – Phytothérapie (2018) 16:281-289 DOI 10.3166/phyto-2018-0064

N’hésitez pas à vous attacher les conseils d’un praticien averti, qui vous aidera à utiliser au mieux les formidables ressources de la nature. Ou appeler le Laboratoire LPEV au 04.70.90.61.45 pour plus d’informations.