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Bien se soignerDéfenses naturelles / tonus

La phytomicronutrition de la longévité

par Martine Carrétéro

Communiqué

Au fil des années, la recherche scientifique a permis de mieux comprendre les mécanismes impliqués dans le processus de vieillissement cellulaire et de révéler les innombrables bienfaits des actifs dont regorge
la nature sur la prévention du vieillissement.

En effet, le processus de vieillissement est une réalité incontournable de la vie humaine. Notre corps compte quelque 100 000 milliards de cellules et un grand nombre d’entre elles se divise continuellement pour nous garder en vie et en bonne santé. Néanmoins, avec le temps, nos cellules subissent des altérations progressives, influencées par une combinaison complexe de facteurs génétiques, environnementaux et comportementaux (stress oxydatif, habitudes alimentaires, gestion du stress, qualité du sommeil…).

De plus, à chaque division cellulaire, les télomères (terminaisons des chromosomes) raccourcissent, finissent par s’effilocher et se dégradent. Lorsque les chromosomes sont altérés, ils ne remplissent plus leurs rôles :la cellule devient sénescente. Les répercussions sont notables tant au niveau interne qu’externe, laissant ainsi la porte ouverte aux pathologies qui empêchent de bien vieillir.

En reconnaissant l’impact direct des vitamines, minéraux et certaines plantes sur la prévention du vieillissement, la phytothérapie et la micronutrition se sont révélées être des outils puissants au service de la longévité. Faisons la lumière sur certains d’entre eux.

LA COENZYME Q10

La coenzyme Q10 est indispensable pour soutenir le métabolisme énergétique, à l’origine de la production d’antioxydants, du renouvellement cellulaire, etc.
Avec l’âge, la concentration de coenzyme Q10 dans les tissus diminue, entraînant un vieillissement prématuré des cellules. En prévention ou consécutivement à des dommages cellulaires, l’augmentation du taux de coenzyme Q10 offre des résultats non négligeables pour optimiser le vieillissement.

A noter toutefois que l’on retrouve dans le corps humain deux formes de coenzyme Q10 : l’ubiquinone (la forme oxydée) et l’ubiquinol (la forme réduite non oxydée et biologiquement active). L’ubiquinol représente la grande majorité de la coenzyme Q10 contenue dans l’organisme (plus de 95 %). Par ailleurs, près de 20 études cliniques ont mis en évidence l’efficacité supérieure de l’ubiquinol par rapport à la coenzyme conventionnelle (ubiquinone). L’ubiquinol est également 3 à 8 fois plus absorbable que l’ubiquinone. Cette différence s’explique par le fait que l’ubiquinone administrée doit subir une étape de conversion pour être utilisable par les cellules.

Ce processus ralentit et limite l’efficacité de la forme oxydée. Ainsi, la forme proposée dans les compléments alimentaires est un critère important à prendre en compte pour l’optimisation d’une complémentation efficace. Il est également intéressant de choisir une forme galénique sublinguale pour une assimilation rapide et optimale de l’ubiquinol.

LES ANTIOXYDANTS

Qu’ils soient naturellement produits par notre organisme ou apportés par notre alimentation, les antioxydants sont indispensables pour nous protéger de la toxicité induite par les radicaux libres.

Les radicaux libres sont des espèces chimiques très réactives et instables capables d’oxyder les constituants des cellules. En effet, les radicaux libres arrachent les électrons des molécules qui étaient stables, ces dernières devenant alors instables et se transformant à leur tour en radicaux libres. Le phénomène se propage de plus
en plus rapidement, semant le désordre au sein des molécules : c’est le mécanisme d’oxydation qui prend de l’ampleur. On parle alors de stress oxydatif.

Il existe 2 catégories d’antioxydants :

– Les antioxydants primaires :

ce sont des enzymes antioxydantes essentielles, naturellement produites par notre organisme. Ces enzymes antioxydantes endogènes constituent notre plus puissant système de défense contre les radicaux libres et les réactions inflammatoires associées. Il existe seulement 3 antioxydants primaires : la SuperOxyde Dismutase (SOD), la Catalase (CAT), et la Glutathion Peroxydase (GPx). Grâce à leurs mécanismes d’action complémentaires et synergiques contre les radicaux libres, SOD, CAT et GPx préviennent le développement d’un stress oxydant.

– Les antioxydants secondaires :

appelés aussi antioxydants exogènes, ils sont quant à eux uniquement apportés par l’alimentation. Ces antioxydants peuvent avoir une action directe en captant les radicaux libres (caroténoïdes, vitamines C et E, polyphénols…) ou une action indirecte en activant les enzymes antioxydantes de l’organisme (zinc, sélénium, cuivre, manganèse, vitamines du groupe B…).

Malheureusement, en vieillissant, notre organisme produit de plus en plus de radicaux libres, accélérant le vieillissement cellulaire, et les réserves s’appauvrissent. Une supplémentation en antioxydants primaires et secondaires peut donc être d’une aide précieuse et prévenir des effets du vieillissement.

A noter qu’il convient de bien choisir sa supplémentation en antioxydants ! En effet, une synergie complète composée à la fois d’antioxydants primaires et secondaires offrira une protection efficace à la source de la formation des radicaux libres.

Concernant les antioxydants primaires, des milliers de publications scientifiques ont démontré l’efficacité d’une supplémentation en SOD, quelle que soit sa voie d’administration. Souvent extraite à partir de melon, elle est néanmoins très fragile.

Il est donc important de veiller à ce qu’elle soit microencapsulée pour la protéger de l’acidité gastrique.
Le choix d’une SOD brevetée permet également de garantir sa qualité.

Concernant le choix des antioxydants secondaires, il est intéressant d’étudier les formes
de vitamines et la naturalité
des phytoactifs concentrés en polyphénols présents dans les divers compléments alimentaires. En effet, le choix des formes les plus assimilables par l’organisme comme le bisglycinate pour le zinc ou la L-sélénométhionine pour
le sélénium offrira une meilleure protection cellulaire.

L’ASTRAGALE

La racine d’astragale, connue comme tonique depuis plus d’un millénaire, est l’une des plantes de la pharmacopée chinoise la plus utilisée.

Récemment, la composition chimique et les activités pharmacologiques de cette plante ont été largement rapportées.

De nombreuses études ont prouvé que son efficacité thérapeutique sur le vieillissement cellulaire provient de sa teneur en Astragalosides IV. En effet, les Astragalosides IV agissent contre 4 causes du vieillissement prématuré :

– Le raccourcissement des télomères : les Astragalosides IV stimulent la synthèse de la télomérase. La télomérase est une enzyme capable d’éviter le raccourcissement prématuré des télomères et donc d’agir sur durée de vie cellulaire.

– Le stress oxydatif : les Astragalosides IV permettent une prévention significative des dommages cellulaires et tissulaires grâce à des mécanismes antioxydants.

– La glycation : les Astragalosides IV empêchent la formation de produits de glycation avancée. Il s’agit de la « caramélisation » des protéines qui est l’une des causes majeures du vieillissement.

– Le photo-vieillissement : les Astagalosides IV augmentent la durée de vie des cellules
de la peau exposées au soleil (UVA) et retardent donc le photo-vieillissement. Le photo- vieillissement se traduit par un vieillissement prématuré de la peau.
Une cure d’astragale riche en Astragalosides IV est donc aussi idéale pour agir sur le processus de vieillissement cellulaire, tant son champ d’action est large.

A noter que la mise en place de mesures hygiéno-diététiques en complément de la prise de compléments naturels s’avère essentielle. En effet, l’alimentation et le mode de vie sont des piliers majeurs de la santé qui influencent l’ensemble de notre organisme. Une alimentation déséquilibrée (trop grasse, trop sucrée, trop salée, ultra-transformée, pauvre en vitamines, minéraux, antioxydants etc.) favorisera le risque de pathologies chroniques dégénératives par exemple.

A l’inverse, de nombreuses études ont démontré qu’une alimentation faisant la part belle aux légumineuses, fruits et légumes, céréales complètes, fruits à coque ou encore en oméga-3 pourrait allonger la durée de vie d’un adulte d’âge moyen de six à sept années ! Côté hygiène de vie, il a été scientifiquement démontré que l’adoption de
bons réflexes quotidiens comme l’exercice physique, l’arrêt du tabac, la consommation modérée d’alcool et d’excitants, l’éviction de polluants et de pesticides ou encore une protection efficace en cas d’exposition au soleil préservaient la santé cellulaire et favorisaient la longévité.

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