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Minceur

Gestion du poids : nouvelles approches pour une problématique multifactorielle

par Martine Carrétéro

La prise de poids se développe en général sur une génétique permissive à partir de facteurs variés et identifiés : dysbiose intestinale, inflammation de bas grade, consommation accrue d’aliments ultra-transformés et caloriques, augmentation de la sédentarité…Il ne s’agit donc pas de traiter le poids, mais bien d’accompagner un individu en surpoids ou obèse, avec ses spécificités et ses déterminants principaux. Pour que la stratégie individualisée mise en place soit efficace, il faut donc connaître les particularités de chaque individu, à commencer par son morphotype.

Communiqué

Des morphotypes différents… pour des risques différents

Les morphotypes gynoïdes se caractérisent par une surcharge pondérale surtout au niveau du bas du corps, sous le nombril. Les deux principales manifestations en sont :

  • La culotte de cheval, où le tour du bassin et le haut des cuisses sont augmentés, qui est fréquemment associée à des troubles gynécologiques et à des perturbations hormonales.
  • La botte veineuse, cellulitique, où la graisse est blanche, froide, zébrée d’éventuelles varices. On observe une lourdeur des jambes et un oedème fortement aggravé par la chaleur. Les complications à craindre sont essentiellement locales avec des phlébites ou des ulcères.

Dans les deux cas, un défaut de lipolyse favorise largement la cellulite qui associe augmentation de la masse graisseuse sous la peau, rétention d’eau locale et fibrose de l’hypoderme. Les morphotypes androïdes se caractérisent par un excès de stockage de graisses au niveau de l’abdomen. Là aussi, on peut distinguer deux manifestations principales :

  • Le surpoids abdominal nerveux de type « psychosomatique » est provoqué par le stress. L’adrénaline et le cortisol du stress augmentent la glycémie et entraînent une fatigue, des ballonnements et des pulsions sucrées. Les risques évolutifs en sont l’obésité, le diabète et toutes les lésions organiques de somatisation.
  • Le surpoids androïde est limité au ventre, volumineux et arrondi, et est favorisé par une hérédité diabétique et/ou vasculaire. Les évolutions péjoratives sont l’obésité et le diabète (par insulinorésistance) et ses complications, ainsi que les maladies cardiovasculaires.

Globalement, les morphotypes androïdes présentent donc surtout le risque de développer un syndrome métabolique avec ses nombreuses facettes : hypertension artérielle, glycémie à jeun trop élevée, déséquilibre des lipides, tour de taille accru… Évidemment, ces catégories restent schématiques, et il est possible de présenter un mixte de ces manifestations.

Un accompagnement ciblé et individualisé

L’établissement du ou des morphotypes principaux permet ainsi l’identification des risques évolutifs de l’individu. L’accompagnement proposé pourra alors cibler spécifiquement la prévention de ces risques, en plus des conseils en hygiène de vie plus « classiques » liés à l’obésité.

Par exemple, le morphotype gynoïde, sujet à la cellulite, devra agir sur des facteurs qui ont tendance à renforcer celle-ci : insuffisance veineuse, rétention hydrique, hyperoestrogénie, trouble des récepteurs alpha-adrénergiques ou intolérance alimentaire par exemple. Des solutions peuvent être proposées pour chacun des facteurs identifiés.

Concernant le morphotype androïde et ses risques métaboliques, il faudra agir pour améliorer l’insulinosensibilité. L’insulinorésistance, qui mène à la résistance au glucose, reste le facteur péjoratif principal, clé de voûte des nombreux autres problèmes associés (diabète et complications, maladies cardiovasculaires et inflammation chronique). Améliorer cette insulinosensibilité est donc une priorité dans une optique de prévention santé.

Les conseils de Naturelles

Le surpoids est la plupart du temps le résultat d’un dysfonctionnement métabolique qui ne relève pas d’un hypothétique manque de volonté.

Les tenants et les aboutissants concernant la santé sont multiples, et l’accompagnement de la personne doit être adapté et surtout global. Certes, le contenu de l’assiette, tant en matière de quantité que de qualité, est un axe de travail essentiel, mais ce n’est pas le seul ! Les carences micronutritionnelles, la dysbiose intestinale, l’inflammation chronique ou le manque de sommeil sont bien souvent des facteurs favorisants. N’hésitez pas à consulter un thérapeute avec une approche holistique.

Le Laboratoire LPEV a développé une gamme de compléments alimentaires spécifiques pour vous aider à atteindre vos objectifs. À utiliser bien sûr en complément des mesures d’hygiène de vie que vous aurez mises en place.

Validée scientifiquement par trois études (1, 2, 3), la prise de polyphénols – issus d’agrumes notamment – facilite la perte de masse grasse et la perte de poids grâce à une activation de la lipolyse. NERGEMINCE®FORT combine ainsi des extraits synergiques de pamplemousse, d’orange et de guarana pour vous aider à fondre et à perdre la peau d’orange (cellulite), sans effet rebond à l’arrêt de la prise.

Dans le cas d’un morphotype androïde, l’extrait de MATÉ est particulièrement indiqué pour ses effets protecteurs du système cardiométabolique, antioxydants et anti-inflammatoires, en plus de son action stimulante sur les performances cognitives et physiques.

Et pour les gros mangeurs, qui se rassasient difficilement, LPEV a également développé NERGEMINCE®DNF-10, un hydrolysat de protéines issues de la levure Saccharomyces cerevisiæ, capable de réduire la sécrétion de ghréline – l’hormone de la faim –, permettant ainsi de diminuer significativement l’apport alimentaire. Quatre études(4, 5, 6 ,7) soutiennent ces résultats et montrent notamment que le poids perdu correspond en totalité à une perte de masse grasse.

N’hésitez pas à prendre conseil auprès de votre praticien de santé, il saura vous faire une recommandation personnalisée. www.lpev.fr au 04.70.90.61.45 Laboratoire LPEV – 03450 Ébreuil

• * 1 – Dallas, C., Gerbi, A., Elbez, Y., Caillard, P., Zamaria, N., & Cloarec, M. (2013). Clinical study to assess the effi cacy and safety of a citrus polyphenolic extract
of red orange, grapefruit, and orange (sinetrol-xpur) on weight management and metabolic parameters in healthy overweight individuals. Phytotherapy
Research, 28(2), 212–218. https://doi.org/10.1002/ptr.4981
• 2 – Dallas, C., Gerbi, A., Tenca, G., Juchaux, F., & Bernard, F.-X. (2008). Lipolytic eff ect of a polyphenolic citrus dry extract of red orange, grapefruit, orange
(SINETROL) in human body fat adipocytes. Mechanism of action by inhibition of cAMP-phosphodiesterase (PDE). Phytomedicine, 15(10), 783–792. https://
doi.org/10.1016/j.phymed.2008.05.006
• 3 – Cases, J., Romain, C., Dallas, C., Gerbi, A., & Rouanet, J. M. (2015). A 12-week randomized double-blind parallel pilot trial of Sinetrol XPur on body weight,
abdominal fat, waist circumference, and muscle metabolism in overweight men. International Journal of Food Sciences and Nutrition, 66(4), 471–477.
https://doi.org/10.3109/09637486.2015.1042847
• 4 – 1 – Hong k. Et al.; Progr nutr. . 2075, 77:3:262-264
• 5 – Jung e. Et al.; Phytother res .. 2009, 3(5):67 9-23
• 6 – Jung e. Et al.; Nutrition; 2074, 30:25-32
• 7 – Jung e. Et al.; Prev. Nutr food sei.; 2077, 22(7):45-49

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