Si c’est avant tout à l’épreuve du maillot de bain que l’on doit souvent de s’inquiéter pour notre poids à l’approche de l’été, c’est pour notre santé que l’on devrait éviter de laisser s’installer les kilos superflus autour de la ceinture abdominale…
En effet, ce sont bien « les kilos du ventre » qui posent problème, et beaucoup moins le tissu adipeux des hanches ou des cuisses. Car ce ventre, ou bedaine (obésité androïde), est directement lié à un trouble physiologique aux conséquences importantes à long terme : le syndrome métabolique.
Le syndrome métabolique
Le syndrome métabolique est une association d’anomalies physiologiques en lien avec la présence d’un excès de graisse viscérale. C’est pourquoi il est souvent corrélé au surpoids et à l’obésité.
5 anomalies caractérisent ce syndrome :
- Un tour de taille élevé (H > 102 cm ; F > 88 cm) • Un excès de sucre dans le sang (hyperglycémie chronique, > 1.0 g/l à jeun)
- Un excès de triglycérides dans le sang (hypertriglycéridémie, > 1.5 g/l)
- Une pression artérielle élevée chronique (> 130/85 mmHg)
- Un taux bas de «bon» cholestérol (H<0.50g/l;F < 0.40 g/l)
On parle de syndrome métabolique lorsque trois au moins de ces anomalies sont présentes chez une personne, qui exprime ainsi un mauvais métabolisme corporel.
Si la pathologie n’est pas encore présente à ce stade, on sait cependant que le surpoids, l’obésité et le syndrome métabolique augmentent très fortement les risques de développer un diabète de type 2 et/ou des maladies cardiovasculaires.
Prévenir, plutôt que guérir
Néanmoins, toutes les graisses (corporelles) ne se valent pas.
C’est bien le tissu adipeux viscéral qui pose problème ici, car ce tissu est particulièrement actif métaboliquement et participe à l’installation d’une inflammation chronique de bas grade ainsi qu’à la production de cortisol.
Or, l’inflammation chronique et le cortisol favorisent également la production de tissu adipeux viscéral… C’est donc un vrai cercle vicieux, que seul le travail sur le terrain global de la personne pourra interrompre. Un travail global, à long terme, qui passe nécessairement par un retour à une hygiène de vie saine.
Perdre un peu de poids…
… pour perdre beaucoup de graisse viscérale !
En effet, 5 à 10% de perte de poids permet de perdre 30% de graisse viscérale, la plus problématique.
Il ne s’agit donc pas de perdre énormément de poids, d’autant plus que l’obésité est une maladie chronique multifactorielle indépendante d’un « manque de volonté », mais de mettre en place une hygiène de vie adaptée et individualisée, par un accompagnement global.
Contenu de l’assiette, mais aussi carences micronutritionnelles, sédentarité, inflammation chronique, dysbiose intestinale, stress chronique ou manque de sommeil sont autant de facteurs identifiés favorisant l’obésité, et donc autant de facteurs sur lesquels travailler.
Cependant, l’insulinorésistance, qui mène à la résistance au glucose, reste le facteur péjoratif principal, clé de voute des nombreux autres problèmes associés (diabète et complications, maladies cardiovasculaires et inflammation chronique). L’insulinorésistance favorise l’obésité viscérale (ou androïde), qui elle-même favorise l’insulinorésistance…
Améliorer la sensibilité à l’insuline est donc une priorité dans une optique de prévention santé.
Le conseil de Naturelles
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Enfin, n’hésitez pas à prendre l’attache d’un thérapeute averti qui saura vous conseiller au mieux en fonction de votre situation personnelle.
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