Simplement parce qu’aucun thérapeute, aucun remède n’a pu apporter son aide sans cette force vitale intrinsèque et spécifique à chaque individu. Le thérapeute, le remède accompagne l’organisme vers son équilibre. S’il n’y a pas de force vitale, rien n’est alors possible.
Les principales fuites
Les carences accumulées (en vitamines, minéraux, oligoéléments, protéines…) demandent à l’organisme de fournir une énergie supérieure pour un même résultat, voire de consommer de l’énergie pour pallier à cette carence et permettre au corps de rester à minima dans un équilibre. Par exemple, un manque de fer demande au corps une énergie double pour apporter de l’oxygène à l’organisme afin de poursuivre les réactions chimiques. Au niveau mécanique, la posture, les vêtements trop serrés, l’usure articulaire, les athéromes, …altèrent la libre circulation de l’énergie. Sur le plan biologique, les barrages par surcharges de toxines ou de dépôts graisseux, la faiblesse des émonctoires, le déséquilibre de la flore intestinale sont autant d’entraves pour l’énergie. D’un point de vue bioénergétique avec les amalgames, les cicatrices, les appareils générant des champs magnétiques… sont de véritables barrages d’énergie. Les peurs, les conflits, les colères rentrées, l’autodépréciation… sont énergivores à souhait. Et que dire des pensées négatives, obsessionnelles, le manque d’estime de soi, les croyances erronées qui réduisent la force vitale chaque jour de façon insidieuse. Sans oublier, le manque de sommeil permettant à l’organisme de se régénérer et de retrouver un peu d’énergie perdue dans la journée !
Le sommeil et l’équilibre pondéral
Un déficit de sommeil a des conséquences sur votre vitalité et entraîne également un déséquilibre pondéral.
Un sommeil moins réparateur se traduit le plus souvent, par une augmentation de l’appétence pour les aliments riches en calories et de préférence sucrés. Il entraine une diminution de la perception des sens qui engendre un temps de réaction plus lent en termes de satiété…voire une instabilité émotionnelle et une plus grande irritabilité face aux aléas de la vie, que vous compensez…par des aliments riches en calories et sucrés !
Mais le déficit de sommeil joue un rôle également dans la production de certaines hormones régulatrices de l’équilibre pondéral. Produites en quantité moindre, la prise de poids ou la lenteur dans la perte de poids sont favorisées. Ainsi, l’hormone de croissance secrétée par l’hypophyse tout au long de la vie, présente des propriétés lipolytiques. Son meilleur allié est un bon sommeil, principalement le premier cycle puisqu’elle est préférentiellement secrétée pendant les périodes de sommeil profond.
Les hormones thyroïdiennes, fabriquées par la glande thyroïde ont comme propriété fondamentale d’activer le métabolisme de base, c’est-à-dire d’augmenter la chaleur corporelle en puisant dans les réserves d’énergie qui sont en majorité dans le tissu adipeux. La résistance à l’amaigrissement après 50 ans est parfois liée à une atrophie progressive de la thyroïde et le manque de sommeil.
La ghréline est une hormone produite au niveau de l’estomac dont la propriété majeure est la stimulation de l’appétit. Mais, elle favorise également l’accumulation de graisses dans les tissus viscéraux de la zone abdominale. La leptine est une hormone produite par les cellules graisseuses. Elle envoie des messages au cerveau pour lui signaler « stop, je n’ai plus faim ». Pour optimiser la bonne production de ghréline et de leptine, une règle : dormir!
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