Le mot « détox » est quasiment passé dans le langage courant. Utilisé maintenant à toutes les sauces, il est l’objet d’un marketing intense, s’approchant parfois dangereusement d’une arnaque à grande échelle. On en parle aujourd’hui tout au long de l’année : détox pré-fêtes, détox post-fêtes, détox avant le maillot de l’été… si bien que l’on en oublierait presque à quoi cela correspond vraiment !
La cure détox a été remise au goût du jour par les stars hollywoodiennes dans les années 2000, mais loin de l’image de régime amaigrissant, la cure de détoxication est héritée des médecines traditionnelles. Elle apparaît avec la théorie de l’hygiénisme vers la fin du XIXe siècle et elle est, aujourd’hui, recommandée par les naturopathes pour refaire le plein de vitalité.
- Les spécialistes de Naturelles vous font le point dans cet article :
- Nos cellules ont besoin de baigner dans un milieu relativement stable, et qui leur fournit toutes les conditions nécessaires à leur survie et à leur fonctionnement : nutriments, carburants, température, pression…
- Or, notre environnement, comme celui de nos cellules, est changeant. Des régulations sont donc indispensables au maintien de cet équilibre vital. Parmi celles-ci, la détoxication est un processus indispensable capable de neutraliser les éléments toxiques pour la survie de nos cellules.
- Détoxiquer l’organisme, c’est donc désactiver les éléments toxiques présents dans le corps afin qu’ils puissent être éliminés ensuite par des organes d’élimination spécifiques : les émonctoires.
Comment aider son organisme à mieux détoxiquer ?
Aider à la détoxication de son organisme passe donc nécessairement par :
Limiter l’apport et l’accumulation des toxiques en agissant sur son hygiène de vie. Éviter les excès alimentaires (lipides dont graisses saturées, glucides et notamment le fructose et les sirops de glucose-fructose, sel, alcool, café, aliments ultra-transformés et tous les additifs…) et les carences (fibres, vitamines, minéraux, omégas 3), respirer profondément dans une nature préservée (loin des fumées toxiques, gaz d’échappement, épandages phytosanitaires…), aérer son intérieur, limiter les cosmétiques toxiques ;
Soutenir le travail hépatique de phase 1 en apportant les constituants nécessaires au bon fonctionnement enzymatique (vitamines du groupe B et Coenzyme Q10) et les antioxydants protecteurs : favoriser une alimentation végétale et colorée, et complémenter si nécessaire en antioxydants (acide R-α-lipoïque, vitamine C, flavonoïdes, romarin jeune pousse…) et en minéraux cofacteurs enzymatiques (zinc, sélénium, manganèse…) ;
Soutenir le travail hépatique de la phase 2 Grâce aux plantes actives sur cette phase : curcuma, chardon marie, artichaut, radis noir, romarin jeune pousse, genévrier jeune pousse notamment…
Assurer une muqueuse intestinale intègre Afin qu’elle puisse jouer correctement son rôle de barrière contre les substances étrangères et les toxiques. C’est en effet au niveau de l’intestin que se présente la charge la plus importante de toxiques exogènes susceptibles de pénétrer dans l’organisme : alimentation à dominante végétale, brute et de saison, dépourvue de pesticides et d’additifs, riche en fibres, et complémenter en chlorella si nécessaire qui présente le triple avantage d’une action antioxydante, de stimuler la phase 2 hépatique et de bloquer au niveau intestinal la pénétration et la réabsorption de métaux lourds ;
Soutenir le fonctionnement rénal en favorisant la diurèse notamment chez la personne âgée (dont la fonction rénale a déjà diminué de moitié au-delà de 75 ans) et en s’assurant d’un bon équilibre acido-basique. Les plantes diurétiques et stimulantes de la phase 2 hépatique sont tout à fait appropriées : pissenlit et piloselle notamment ;
Les conseils alimentaires et en hygiène de vie restent évidemment valables à chaque instant. Les complémentations se font par cures et selon vos besoins. Pensez à prendre l’attache d’un professionnel de santé formé qui pourra vous conseiller individuellement et adapter ses conseils à votre situation.
LE CONSEIL NATURELLES
Communiqué
Vous pouvez trouver des réponses adaptées et de qualité dans la gamme des compléments alimentaires du laboratoire LPEV : GAMME QUANTIS® ET GEMMOQUANTIS® : Spécialiste de la phytothérapie, le Laboratoire LPEV vous propose un concept unique : la phytothérapie et la gemmothérapie sur mesure ! Une gamme de 66 plantes et bourgeons, que vous pouvez mélanger entre elles. Ce procédé breveté permet de restituer l’ensemble du totum* de la partie de plante utilisée. Avec plus de 60 plantes dans ces 2 gammes, ce sont plus de 50 000 synergies possibles.
Voici notre sélection détox :
QUANTIS® Artichaut 1/3 – Curcuma 1/3 – Radis noir 1/3 : célèbre trio de plantes détoxifiantes de l’organisme N° 1 des mélanges QUANTIS®
QUANTIS® Ail des ours 3/3 : dernière nouveauté du laboratoire avec cette plante utilisée autrefois par les Celtes et les Germains comme plante purifiante dont les actions de chélation ont été démontrées3-4-5 par plusieurs études notamment grâce à l’Allicine, l’actif principal de cette plante ancestrale.
NERGEMET® contient de la N-acétylcystéine, le précurseur du glutathion, antioxydant majeur du foie, ainsi que du zinc, de la chlorella et de l’ail des ours. Le zinc, outre son rôle de soutien immunitaire, protège également les cellules contre le stress oxydatif. La chlorella stimule la phase 2 hépatique, bloque la pénétration et la réabsorption de métaux lourds au niveau intestinal et est un puissant antioxydant.L’ail des ours complète la formule avec ses propriétés anti inflammatoire, hépatoprotectrice et chélatrice des métaux lourds et des nanoparticules.
CHLORALIG® apporte de la chlorophylline, capable de se lier à des cancérogènes potentiels et d’en empêcher ainsi l’absorption intestinale. Elle stimule également la croissance des bifidobactéries, améliore le microbiote et s’oppose ainsi à l’hyperperméabilité intestinale.
UNINUTRIS® PLASMA MARIN HYPERTONIQUE DE QUINTON contient de l’eau de mer prélevée en France dans les eaux méditerranéennes du parc national de Port-Cros (classé zone Natura 2000), à 50 m minimum de la surface, et filtrée selon la méthode de René Quinton. L’eau de mer contient 78 minéraux dans une qualité hautement assimilable et contribue ainsi à la détoxication par un rééquilibrage des minéraux. Elle reminéralise et réhydrate les tissus, s’opposant ainsi à l’acidification de l’organisme.
UNINUTRIS® ACIDE R-α-LIPOÏQUE est un antioxydant universel car actif en milieu intracellulaire et extracellulaire. Il est également anti-inflammatoire et chélateur de métaux lourds, et permet de régénérer le glutathion, les vitamines E et C et le Coenzyme Q10.
- FLORA S.J.S. Structural, chemical and biological aspects of antioxidants for strategies against metal and metalloid exposure. Oxidative Medicine and Cellular Longevity. 2009-2 :4, 191-206
- ASLANI MR. Et al. The effect of allicin on blood and tissue lead content in mice. Comparative Clinical Pathology. 2011;20(2):121-5.
- YANG D. et al. Activation of the Nrf2 Signaling Pathway Involving KLF9 Plays a Critical Role in Allicin Resisting Against Arsenic Trioxide-Induced Hepatotoxicity in Rats. Biological Trace Element Research volume 176, pages192–200 (2017)